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Contes et musique
Les 1001 Nuits
par Layla Darwiche - Compagnie Clair de Lune
Layla Darwiche est venue tout doucement et naturellement au conte, après des études en langue orientale et une expérience de la scène à travers les danses du Maghreb. D’origine libanaise, elle puise son répertoire dans les contes traditionnels du Moyen-Orient (Palestine, Egypte, Syrie…), les 1001 Nuits et dans la mémoire familiale transmise par sa grand-mère «à la bouche fleurie» puis par son père. Fascinée par les contes de femmes, dévoreuses ou sages, sorcières ou ogresses, initiatrices et porteuses de vie, elle cherche sans relâche à trouver l’image juste, le mot vrai et à naviguer entre légèreté et gravité. Depuis peu, la découverte de la place du conte dans l’apprentissage de la langue pour les non francophones lui ouvre un nouveau champ d’investigations.
02/09/2023
17h


Layla Darwiche est venue tout doucement et naturellement au conte, après des études en langue orientale et une expérience de la scène à travers les danses du Maghreb. D’origine libanaise, elle puise son répertoire dans les contes traditionnels du Moyen-Orient (Palestine, Egypte, Syrie…), les 1001 Nuits et dans la mémoire familiale transmise par sa grand-mère « à la bouche fleurie » puis par son père.
Fascinée par les contes de femmes, dévoreuses ou sages, sorcières ou ogresses, initiatrices et porteuses de vie, elle cherche sans relâche à trouver l’image juste, le mot vrai et à naviguer entre légèreté et gravité. Depuis peu, la découverte de la place du conte dans l’apprentissage de la langue pour les non francophones lui ouvre un nouveau champ d’investigations.
« Le conte est un espace de liberté. Chez le conteur, l’essentiel c’est la voix. Elle est le véhicule par lequel les spectateurs vont s’échapper de leur siège pour voyager. Même s’ils écoutent tous la même histoire, ils ne feront pas le même voyage car le conte laisse une grande part de liberté à chacun pour se créer ses propres images. Le conteur vous emmène dans un monde, votre imagination fait le reste. Le conte est aussi un retour à l’essentiel, aux rapports humains. Il est un fil transparent qui tisse des liens entre l’artiste et les spectateurs, il crée un espace d’échange et de partage ».